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Fin de Siècle

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4 mars 2009

Oh yeah...

Le plus dur c'est pas d'avoir le poids du monde sur ses épaules, mais celui de ses propres souhaits...

Sad day...

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3 février 2009

Misère

Je voudrais vous faire part, aujourd’hui, en France, de la misère qui règne dans ces rues aux allures lugubres. Ces rues peuplées par des pauvres malheureux depuis des semaines, des mois ou des années peut-être !

Pourquoi sont-ils là ? Qui ou qui sont les fautifs ? Comment peuvent-ils vivre dans des conditions si sordides ?

Où est-ce que la notion d’égalité est respectée dans tout cela ? Celle-ci qui fait tâche dans la devise française.

Elle qui est accompagnée de la notion de fraternité bien que des associations caritatives soient mises en place ; cette notion est encore inconnue pour un bon nombre de personnes.

Qui ferait bouger le monde si ce n’est pas vous qui me lisez ?

Les français ont tout simplement peur de cette misère, de ces différences. L’égoïsme est le cœur de la France !

En tant que citoyen chacun devrait se sentir concerné et aider son prochain. Avec la vénalité qui augmente toujours plus, ce ne sont pas les plus riches d’entre nous qui iraient donner une part du gâteau.

Pourquoi c’est toujours la même chose ?

Les classes moyennes qui doivent se serrer les coudes pour aider les plus démunis d’entre nous sans recevoir de grandes aides financières des riches ou du gouvernement. Même le gouvernement a du mal à tenir ses promesses : où est le logement pour tous ?

En plus de ne pas avoir de logement certains d’entre eux sont atteints de maladies incurables. Au lieu de réaliser des films coûtants des millions et des millions d’euros, au lieu de faire des jeux télévisés où nous pouvons gagner des vents et des mille ; pourquoi ne pas faire don de ces gains aux laboratoires de recherches pour trouver des solutions afin de chasser toutes les pourritures de maladies qui traînent dans ce monde impur.

Certes, il faut laisser une place aux rêves, au « rêve américain » mais qu’une partie de ces gains soient redistribuée pour la bonne cause. Le monde ne serait-il pas mieux ainsi ?

Et puis toutes ces infamies de maladies psychosomatiques n’influencent-elles pas la misère du monde ? Avec toutes les fausses idées qu’ont les gens, les dires des charlatans qui veulent que les gens les consultent de plus en plus et qui n’ouvrent pas les yeux sur les conséquences qu’ils peuvent avoir. Ce n’est que cet appât du gain qui prend de plus en plus de place dans ce monde aveuglé par l’argent.

Je n’oserais même pas parler de la misère internationale, sujet qui pourrait heurter les âmes sensibles…

Est-ce que le régime communiste de Staline était si instable qu’on le dit ?

Evidemment, de grandes choses sont à revoir aujourd’hui, mais le taux de chômage était quasi nul et une sorte d’égalité régnait en U.R.S.S. Bien qu’en théorie c’était l’idéal, cette doctrine a été détournée par des dictateurs sans scrupules. Les ouvriers avaient tous la même vie terne et étaient tenus à l’écart du progrès technologique : on les maintenait dans l’ignorance pour mieux les manipuler.

Quoi qu’il en soit « le progrès » apporte aussi de nombreux désagréments, les travailleurs qui seront remplacés par des machines, où iront-ils ?

Ils iront sûrement se rajouter au bloc formé par la misère. Et c’est là qu’on peut observer le fondement d’une vraie et unique famille : celle de la misère.

A l’image de l’écologie, où toutes les petites économies forment une grande rivière, si chacun de nous y met un peu de son temps et de sa volonté nous arriverons peut-être un jour à faire de grandes choses tous ensemble et surtout sur le même pied d’égalité.

A l’heure actuelle les riches sont toujours plus riches et les pauvres plus pauvre ; la fracture sociale s’agrandit malgré les efforts insignifiants du gouvernement.

Heureusement il y a des gens qui ne pensent pas qu’à eux et au travers d’associations apportent un vent de fraîcheur et de fraternité.

8 janvier 2009

What the fuck ?...

What the fuck ?...

27 décembre 2008

Fade to black

La vie semble s'évanouir
Dérivant plus loin chaque jour
Je me perds en moi-même
Rien ni personne n'a d'importance
J'ai perdu le goût de vivre
Je n'ai plus rien à donner
Ni plus rien à espérer
Seule la mort peut me libérer

Les choses ne sont plus ce qu'elles étaient
J'ai perdu quelqu'un au fond de moi
Mortellement désemparé, ça ne peut être vrai
Je ne supporte pas cet enfer que je ressens
Submergé par le néant,
Au comble de l'agonie
D'épaisses ténèbres s'emparent de l'aube
Celui que j'étais s'en est allé.

Je suis le seul à pouvoir me sauver, mais il est trop tard
Maintenant je ne vois pas, à quoi bon, ne serait-ce qu'essayer
Il semble qu'hier n'ait jamais vraiment existé
La mort me tend les bras, il ne me reste plus qu'à faire mes adieux.


Merci Metallica.

Beautiful song...

25 décembre 2008

Joyeux Noël, quand même. :-)

Joyeux Noël, quand même. :-)

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23 décembre 2008

Peur ?

Pourquoi avez-vous peur de la vérité ? Auriez-vous des reproches à vous faire, avez-vous peur de vous-même ou des autres ?
Réfléchissez et essayez de paraître intelligent, une fois voire deux au moins dans votre fucking de vie.
Regardez vous avancer ou plutôt reculer devrais-je dire. Au moindre petit soucis vous vous retournez et vous avez peur du futur, d'être seul. Ah la solitude, quel grand mot :).
Vous croyez peut-être que vous serez toujours avec votre ami(e) ? C'est peut-être le moment d'ouvrir les yeux, c'est pas la mort après tout.
Nous sommes une société qui doit s'entraider sans pour autant devoir se coller. Un peu de solitude fait pas de mal. Et puis bon D.I.Y pour y arriver... :)

16 novembre 2008

On marche sous la pluie, sans espoir on marche

On marche sous la pluie, sans espoir on marche dans la vie, le regard perdu dans l'oubli, que la nuit pour nous faire échapper de cette agonie...

16 novembre 2008

Lettre pour vous-même...

Frères et soeurs,

Le soleil se lève et nous voilà encore en cette aurore de troisième millénaire, spectateurs de nos échecs, acteurs de nos futurs. On avait pourtant juré et de Nüremberg à Sarajevo, rien n’a changé, juste la manière. Comme si l’humanité elle-même s’infligeait sa propre sélection naturelle, comme si le sang nourrissait le progrès et le progrès le sang. C’est étrange, Internet est là mais y a plus d’éducation et les symboles ont pris feu, sous des slogans de paix, la crise est née, sous des rêves d’amour, sida et latex ont enterré le Rock, aujourd’hui c’est Disco 2000 et dragées pour baiser. Mais putain n’y a-t-il rien à foutre ici que supporter le cul de cette société bien assise entre un restant d’humanité et un confort capitaliste que chacun serre dans sa main comme on sert le sein d’une nourrice.
Et puis la France…
Un américain disait « La France, ah oui, c’est le pays qui se range toujours du côté des vainqueurs » , espèce d’inculte bâtard d’américain, t’avais bien raison.
J’en ai marre d’entendre les mêmes conneries à longueur d’ondes la même merde qu’on livre par kilotonnes à des milliards de crétins qui n’ont pas le choix. Non la Terre n’est pas ronde, elle est carrée, câblée, et nos cœurs aussi. Et puis les extrêmes montent, et puis les gens ne lisent plus, la violence devient une communication et la réflexion meurt sous les millions d’assauts quotidiens que nous livres les Microsoft et autres fascistes de la communication. Ah « la communication » quel grand mot.
Aujourd’hui le bruit rassure et le silence fait peur.
Ce soir je viens de te laisser un message pas très joyeux car ce soir… c’est la fin d’une histoire d’amour, en tout cas la fin physique. Les êtres aimés des dieux meurent jeunes.
Au moins les lettres ont plus le parfum des souvenirs et des cœurs que les conversations de nos portables.
Quand je regarde un peu en arrière, j’ai le sentiment d’un jour et d’une nuit qui se sont croisés sans jamais vraiment accoucher du crépuscule ou de l’aurore qui font véritablement la beauté de la lumière, et des ténèbres un jour…
Posée comme une étoile, y a cette photo de toi, posée sur le bureau de cette chambre d’hôtel, cette photo que je n’ai pas mais que j’imagine. Mais ce n’est pas toi qui me manques en fait il me manque celui que je fuis, je voudrais fuir ce que je connais, fuir ce qui nous appartient, fuir ce que j’aime, je voudrais m’en aller vers un endroit. Mais dieu que c’est dur d’avoir vingt et un ans tout seul et j’ai mal à la tête et à l’univers entier et putain que c’est bon d’aller vite car nos jours sont comptés chère sœur d’aventure, car nos jours sont comptés cher frère de luxure, et le décompte va vite.
La nuit est si belle ce soir. Il pleut et le chuchotement des gouttes berce un monde qui s’endort. C’est dieu qui pleure ! C’est dieu qui pleure ! Au moins nous ne sommes pas seuls. Finalement c’est un peu ça, le ciel est le vrai compagnon de larmes, c’est un peu triste mais c’est déjà ça.

A nous,
                                                      Damien Saez.

16 novembre 2008

PROLOGUE.

Quand je pense qu'on fait gagner des millions chaque semaine à la télé, alors que la science manque de moyens pour permettre aux jeunes de s'unir a nouveau sans bout de caoutchouc, quand je pense à leurs jeux de merde et à l'Afrique qu'on laisse crever en silence parce que soigner les pauvres ne rapporte pas, quand je pense à ces chers occidentaux qui ont tout compris sur tout et qui ont même eu pendant des siècles la prétention d'apprendre aux autres, quand je pense que le sida termine son travail en Afrique, mais dites moi: " Qui veut gagner des millions ?" Ca me fout la gerbe et j'ai honte d'être un Homme !

saez_zoom

Damien Saez.

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